Décembre 1998. Bordeaux. Je descends de mon Pas-de-Calais pour effectuer un stage d’un mois dans une agence de voyages. Ma cousine : Caroline, étudiante en droit, m’accueille chez elle et me présente ses ami(e)s. Nous sortons souvent sur les quais. Un soir, je fais plus ample connaissance avec Matthieu. Matthieu est le pote de Stéphane : un ami de fac de ma cousine. Une relation éphémère se crée, le temps de mon séjour. Une relation agréable mais sans réelle volonté d’avenir. Quelques semaines plus tard, je rencontre l'homme qui deviendra par la suite mon mari.

Avril 2012. Paris. Je commence un nouveau job et ma responsable me fait faire le tour des bureaux pour me présenter à tout le personnel. Le visage de ce commercial me semble familier mais je n’y prête pas plus attention que cela.

Fin de l’année 2012. Paris. 9 mois d’ancienneté et le déclic a enfin lieu.  J’attrape mon téléphone et adresse un texto à ma cousine :

-          Dis moi, ton pote du temps de la fac, il ne s’appelait pas Matthieu P ?

-          Oui, pourquoi ?

-          Parce que nous travaillons dans la même boîte et que je viens tout juste de faire la relation !

Matthieu vit sur Paris depuis 10 ans. Il se souvient de la courte relation que j’avais entretenue avec son ami : Stéphane. Il ne fréquente plus ce dernier depuis plusieurs années déjà. Selon lui, Stéphane travaillerait pour une célèbre marque d’aspirateurs en Malaisie.

Matthieu est content de me revoir : je lui rappelle les meilleures années de sa vie.

Il est 21h15. Nous avons couché les enfants vers 20h30 et avons attendu qu’ils finissent par s’endormir pour passer en mode galipettes.

Le mari m’enlace, m’embrasse, enfouit son visage dans mes cheveux devenus très récemment blonds. Il me chuchote quelque chose dans l’oreille que je n’entends pas distinctement. Probablement, de petits mots doux ou provocateurs. Je lui fais répéter.

- c’est la première fois que je fais l’amour à une fille dont les cheveux sentent le poisson pané !

Non, il n’est pas si facile de passer du statut de parents au statut d’amants. Il y a toujours quelque chose vous rappelant l’existence des enfants. Une petite voiture abandonnée dans le lit parental vous  vrillant le dos et vous laissant échapper un cri de douleur en pleine action… ou encore, les panés de ce vieux chnock de Captain Iglo que vous avez, certes, cuisinés avec amour pour vos enfants, mais imprégnant votre tignasse d’une odeur tenace, pas vraiment bandante pour votre mari!

Cernes, poches, rides ? J’ai le produit qu’il vous faut ! 

OPTIM-EYES de FILORGA

Ce contour de l’œil est probablement l’un des meilleurs vendus sur le marché de la cosmétique. Je l’utilise depuis quelques mois maintenant et les résultats sont là : mon regard a (presque) retrouvé la fraîcheur de ses 20 ans.

La trentaine passée, la fatigue due à la gestion de 2 très jeunes enfants et d’une vie professionnelle, la pollution parisienne, une hygiène de vie parfois discutable…Il ne faut pas se leurrer, Tout ceci n’est pas sans effet sur ma peau et plus particulièrement sur mon regard !

Comment agit OPTIM-EYES sur votre regard ?

Triple action sur le regard :

ANTICERNE : les cernes sont visiblement atténués grâce à un complexe agissant sur les résidus pigmentés responsables de la teinte des cernes.

ANTIPOCHE : la circulation veineuse et lymphatique est stimulée, l’œil est dégonflé grâce à un cocktail de 3 actifs.

ANTI-AGE : les tissus gagnent en fermeté grâce au NCTF : un complexe polyrevitalisant identique à celui injecté en cabinet médical

Comment utiliser OPTIM-EYES ?

Perso, je l’applique le matin et le soir. Si vous souhaitez l’appliquer une seule fois par jour, je vous conseille d’opter pour le soir, pour un résultat optimal. Pendant la nuit, la peau est au repos, les cellules se régénèrent bien mieux.

Le contour de l’œil est fragile. Il suffit simplement de tapoter légèrement le contour de l’œil.  Le surplus de produit peut éventuellement être appliqué sur le coin des lèvres (plis d’amertume).

Afin de booster la sensation de fraîcheur et d’optimiser l’effet lifting, laissez OPTIM-EYES au réfrigérateur.

Outre son efficacité, j’adore…

• Le conditionnement. Un flacon pompe de 15 ml ultra hygiénique et permettant d’appliquer la juste dose.
• La texture ultra légère, ultra fraîche, ultra hydratante tout en pénétrant instantanément (texture ultra fondante).
• Il convient aux yeux sensibles et aux porteuses de lentilles.

Ou trouver cette petite merveille ?

Vous pouvez notamment acheter OPTIM-EYES sur le site de la PHARMACIE ANGLAISE DES CHAMPS ELYSEES.

Bénéficiez d’une réduction de – 15% valable uniquement sur leur boutique en ligne, en utilisant le code promo FILORGA 

Sa mort, je l’ai apprise il y a quelques jours à peine…un peu par hasard, je dois dire…

Tout est parti d’une discussion sur Facebook entre anciennes copines à propos d’un type de notre classe qui avait décroché un rôle dans une série française. Nous avons rapidement dévié sur le sujet « mais que sont-ils devenus ? »

« Jean-Charles D, qu’était-il devenu ? ».

L’une d’entre elles connaissait la réponse : « Jean-Charles D est décédé, les filles ! ». Une seule et même réaction : « merde !».

Jean-Charles a quitté cette terre, il y a une bonne dizaine d’années, victime d’un accident de voiture en rentrant d’une soirée trop pleine d’excès en tout genre.

Jean-Charles D m’a marquée dès le premier jour de classe. Je revois son nom sur la liste des élèves. Un prénom composé, un nom à particule…Je me souviens de la réflexion que je m’étais faite à l’époque : « Tiens, ça sent le petit péteux à plein nez ! ».

Et puis, quand je l’ai vu, j’ai réalisé que l’habit ne faisait vraiment pas le moine. Jean-Charles portait les cheveux mi-longs, la raie au milieu. Le sourcil broussailleux, le regard fuyant, pas très grand. Un physique banal : ni beau, ni laid. Ses vêtements sombres et simples étaient souvent usés.

L'obtention du bac? Jean-Charles ne semblait pas en avoir fait son objectif premier. Jean-Charles séchait la plupart des cours.

Jean-Charles solitaire, ne parlait jamais. Il me semble que sa voix était plutôt grave mais je ne pourrais pas l’assurer.

Je ne me souviens pas l’avoir vu sourire et encore moins rire.

Je ne me souviens pas du nom de ses amis. En avait-il seulement ?

Il se fondait dans le paysage, un peu trop même. Il était présent sans l’être vraiment. Je ne crois pas lui avoir adressé la parole, ne serait-ce qu’une seule fois.

Jean-Charles D préférait probablement les paradis artificiels au monde réel…et cela lui en a coûté la vie.

Elle s’appelait Anne. Nous étions dans la même classe en terminale. Rousse, élève sérieuse , discrète, et douce. Elle dégageait quelque chose d’extrêmement positif. 16 années se sont écoulées, et pourtant, je me souviens précisément des traits de son visage : son nez un peu rond, ses fines taches de rousseur, ses lèvres plutôt charnues… Nous nous parlions de temps en temps...même si nous ne pouvions pas qualifier notre relation de réelle amitié.

Au début des années 2000, alors que je passais le week-end chez ma mère dans le Nord, un évènement me troubla fortement. Je feuilletais transquillement la presse locale, histoire de me tenir au courant des potins du « village », lorsque mon regard fut happé par un prénom et un nom étalés sur  un quart de page: Anne H…dans la rubrique nécrologique.

Anne H, la vingtaine, décédée « subitement ». L’âge correspondait parfaitement. Mais s’agissait-il vraiment de la même Anne H ? Et puis, que fallait-il entendre par « subitement » ? Etait-elle malade ? Avait-elle été la malheureuse victime d’un accident de la route ? Plus glauque encore, avait-elle décidé de mettre fin à ses jours ? Malheureusement, ne vivant plus dans la région, personne ne pouvait répondre aux nombreuses interrogations qui taraudaient mon esprit!

Enfin, à la fin des années 2000, par le biais de Facebook, j’ai repris contact avec des amies du temps du lycée. J’ai tenté d’en savoir un peu plus sur le supposé décès d’Anne, sans succès. Oui, elle était bien décédée mais aucune ne fut en mesure de me préciser la cause. 

Aujourd’hui, Je pense encore à elle… et le fait de ne toujours pas savoir pourquoi elle ne vit plus, m’obsède.

On la retrouve dans chaque émission…qu’importe le type d’émission..qu’importe la chaîne…parmi le public, assise là, juste derrière le présentateur. Elle est jeune, belle et souvent blonde aux cheveux longs. Blonde parce qu’une blonde capte davantage le regard. Les projecteurs accentuent  le contraste entre la couleur foncée de ses racines et le blond « fluo » de ses pointes. Pourquoi ? Parce que le blond n’est pas naturel. Cet effet « fluo » sous les spotlights, on ne peut le retrouver que chez les blondes qui ne le sont pas depuis la naissance.

Tête sur le côté, elle est pensive. Elle se fait grave chier, gesticule sur sa chaise en signe d’impatience.  En réalité, ce qui la motive pour participer à l’émission, c’est la rémunération qu’elle tirera de sa « prestation ». La blonde n’est pas là par passion du foot ou par intérêt pour la vie politique française. Non, la blonde est une hôtesse. Faire de la figu sur un plateau TV, c’est son job. 

Il semblerait que Miss_Cuicui s’encanaille…Votre blogueuse préférée va vous causer de SEXE et plus particulièrement de ces petits accessoires qui pimentent notre vie intime : les  sex toys  !

Avoir un sex toy, c’est désormais ultra tendance et le phénomène littéraire  érotique « 50 nuances de Grey » vendu à 80.000 exemplaires dans l’hexagone est encore venu décomplexer la vie sexuelle de beaucoup de Français. Aujourd’hui, près de 2 millions de Français posséderaient un sex toy. Ce n’est plus tabou ! Même si nous sommes toujours en retard par rapport à d’autres populations comme celle d’Europe de Nord ou les Anglo-saxons.

61% des personnes  achètent leur sex toy sur internet. A l’inverse, 31 % se rendent directement dans un sexshop. Imaginez le tableau, vous déambulez tranquillement dans les rayons d’un  sexshop  tout en chantonnant « I want your sex » de George Michaël. Vous tenez un vibromasseur dans la main droite et des boules de geisha dans la main gauche. Vous levez les yeux et qui apercevez-vous, là, un peu plus loin au rayon vidéo hot ? Jacques DUPONT, le DAF de votre boîte ! Traversée par le sentiment de vouloir disparaître, là tout de suite ! Non, cette situation est véritablement  impossible à imaginer et surtout à vivre. C’est pour cela qu’Internet reste le moyen privilégié pour effectuer ce genre d’achats ! La discrétion est assurée. Sur la toile, il existe de nombreux sites proposant plein de petites choses sympathiques pour vous offrir un plaisir en solo ou agrémenter votre vie de couple.

La boutique en ligne qui a particulièrement retenu mon attention s’appelle Sexshop-IlXelle. C’est LA boutique sexy, érotique et coquine offrant un grand choix d’articles, de sex toys et autres produits pour une sexualité encore plus épanouie.

Voici quelques coups de cœur que j’avais envie de vous faire partager sur mon blog :

Dans la catégorie «  lingerie érotique  », j’ai craqué pour une petite tenue d’actualité à quelques semaines de Noël : la guêpière de Noël. Ma main à couper qu’elle ferait son petit effet sur le coquin de mari.

Dans la catégorie «  bijoux intimes  », j’ai adoré les bijoux de tétons que l’on retrouve dans le burlesque : chez les pin-ups ! C’est sexy sans être vulgaire !

Dans la catégorie «  vibromasseur  waterproof », c’est le canard vibrant : kitty chat qui a remporté tous mes suffrages. Tout mignon et très discret dans la salle bain. Néanmoins, attention à ne pas vous le faire endormir par vos enfants. C’est le canard de maman, alors pas touche !

Un peu plus haut, j’évoquais le livre érotique « 50 nuances de Grey ». Eh bien, figurez-vous que vous pouvez vous procurer la cravache utilisée par Christian sur la jeune et naïve Anastasia (catégorie  bdsm).

Bref, tout cela pour vous dire que vous trouverez forcément votre bonheur dans cette boutique en ligne…Et pour les fêtes de fin d’année, trouvez LE cadeau du plaisir ! Un petit bâillon SM pour belle-maman pourrait bien vous tenter, avouez-le !

Alexa Chung pour Maje

La trentaine, issues d’une famille aisée, diplômées de grandes écoles, elles ont réussi leur vie professionnelle en occupant un poste de cadre supérieur au sein d’un grand groupe bancaire ou de cosmétique.

Une carrière au top, mais une vie privée qui l’est souvent beaucoup moins. La plupart  sont des célibataires endurcies. Hautaines, aigries, égocentriques, elles ne supportent pas les gosses. Elles ont des principes, des concepts sur l’éducation des enfants. Mais, des enfants, elles n’en ont pas et n'en auront peut-être jamais.

Elles ne s’habillent qu’en Tara Jarmon, Maje ou Sandro. Leurs conservations sont aussi superficielles qu’elles et se résument à un truc du genre :

-Waouh, elle est magnifique ta bague ! C’est une Boucheron ?

-Non !

-une Chaumet ?

-Non plus !

-C’est quoi, alors ?

-Rien, ce n’est pas une marque !

-Ah bon ! (avec une pointe de déception dans la voix). Pourtant, elle fait de l’effet...

Moralité : t'as pas de Boucheron ou de Chaumet à 30 ans, t'as raté ta vie!

Ce soir, j’avais envie de vous faire partager une superbe trouvaille en matière de mousse à boucler les cheveux.

Dieu sait que j’en ai essayé des mousses et je n’ai jamais été satisfaite du résultat : effet cartonné et véritable souffrance endurée lors de l’étape « démêlage de crinière » ou alors des boucles tenant à peine quelques heures.

Et puis, un jour, je suis passée devant une boutique spécialisée dans les produits utilisés par les professionnels de la coiffure. Je suis entrée, un type version William Carnimolla m’a demandé ce que je recherchais et m’a proposé finalement ça :

Foxy Curls Extreme Curl Mousse – Bed Head de TIGI

“Vous verrez, cette mousse est FORMIDAAAAABLE. En plus, elle sent hyper bon ! J’adooore son odeur ! C’est un produit de Toni and Guyyy* !»

Devant tant d’enthousiasme et d’énergie, je ne pouvais que céder et je suis donc repartie avec ma petite mousse sous le bras.

Les promesses et conseils d’utilisation lisibles sur la bombe

La traduction est mauvaise mais je vous ai tout de même épargné les fautes d’orthographe !

« Faites ressortir votre côté sexy avec cette superbe mousse activatrice de boucles. Bien agiter et vaporiser dans la paume de la main. Appliquez la mousse dans les cheveux et répartissez-là. Les filles aux cheveux bouclés ont plus de plaisir »

« Sexy »,  avoir « plus de plaisir ». Je me suis demandée l’espace d’un court instant si cette bombe contenait réellement  un produit pour cheveux

Ce que j’en ai pensé

Après avoir bien agité le flacon, j’ai appliqué la mousse sur mes cheveux préalablement essorés. Puis, j’ai laissé mes cheveux sécher à l’air libre environ un quart d’heure. Enfin, j’ai effectué mon brushing avec l’aide d’un diffuseur, tête en bas.

La fragrance : William (ou tout du moins son sosie) ne m’avait pas menti sur ce point. Une tuerie : une odeur de bonbon ou de barbapapa. On en mangerait presque !

Le résultat juste après brushing : volume, boucles dessinées sont au rendez-vous. Je tiens à préciser que mes cheveux sont naturellement souples. Pas d’effet cartonné. Mes boucles sont douces, souples et pas de résidu blanc façon pellicule cracra à déclarer !

Le résultat en fin de journée : un peu moins de volume, les boucles ont un peu moins de ressort mais j’ai connu pire. Mes cheveux sont loin d’être raplapla. Comme vous le constaterez sur la photo prise à 19 heures, c’est encore très joli !

Le brossage : le peigne démêle facilement mes cheveux : aucun nœud, aucune larme.

Cette mousse est une petite merveille. Son prix, l’est un peu moins puisqu’il vous faudra débourser une douzaine d’euros pour l’acquérir…si vous parvenez à la trouver ! En effet, cette mousse n’est disponible que dans les magasins dépositaires de la marque et seulement  sur quelques sites internet !

*prononcer Guaï