13 avril 2012
L'angoissant cauchemar du petit matin : mourir égorgée
J’ouvre les yeux : l’obscurité est totale. Je me concentre quelques minutes sur les bruits qui m’entourent : le silence est total. Seule la respiration régulière de mon mari vient troubler ce silence nocturne. Je ne ressens pas les vibrations du métro...